une rencontre très sanglante ( PV alby ) [rp terminé]

je me trouve sur mon vaisseau je vais route sur le synthème galactique mercuri g 5454 , t'elle un phantom mon vaisseau par se inaperçu avec sont camouflage . je me trouve assis sur mon fauteuil personnel avec mon visage appuyer sur mon poing , nul ne ses a quoi je pense même pas mon équipage mis a par peut-être stélli qui fait parti depuis peut de mon équipage .

plus que je la regarde plus cette fille me fait pense a une légende que j'ai entendus il a très longtemps ,

-stélli : capitaine vaisseau en vue

je me lève et je demande que tout le monde rejoigne leur poste de combat , encore une chance que mon vaisseau et camoufle une brume de couleur rouge sang se qui le laisse indétectable pour les autre vaisseau . j'ai un souris sanglant qui étire mes lèvres car se pauvre vaisseau vas tombe droit dans mes canon , et voilà que le combat comment contre se vaisseau qui a hisse sont drapeau de coalition mais c'est pas sa qui va m'arrête . bien sur je peut imagine leur tête face a cette brume de couleur rouge sang avec en des éclaire et de plus cette brume émet des sont très angoissant en déréglant les système des tableaux de bord ,

je reste camoufle dans ma brume mais je leur réserve une petite surpris t'elle un phantom . Quand a mes tire il sont très précis car je n'est pas le droit de le loupe , et voilà que je stop mes tire pour permettre aux temps de rechargement d'être revenu a la normal . Une fois le rechargement redevenu a la normal je réapparais je suis dans la position d'abordage il ne mon même pas vus venir ses abruti de gaya , et je demande a tout mon équipage de revêtir leur tenu de combat et nous voilà en train de prendre le vaisseau . Quand a se vaisseau il transporte des gros tête de la coalition se qui veux dire fortunée

Ils avaient repéré le vaisseau de loin. Un aussi gros croiseur ne passait pas inaperçu sur les radars, et par ailleurs, ne prenait même pas la peine d’utiliser le bouclier. Albator avait hésité longtemps avant de prendre la décision d’attaquer. Aborder un vaisseau aussi gros était risqué, même pour l’Arcadia, et sans la matière noire pour réparer après l’assaut, il faisait courir un risque à tout son équipage.
Mais d’un autre côté, ils étaient pirates. Laisser filer un croiseur qui transportait sans doute la dernière levée d'impôt et plusieurs pontes de Gaia... n’était pas digne de l’Arcadia.

Il braqua d’un seul coup sur le croiseur, sachant qu’il se mettait à la portée des radars. Albator comptait sur l’effet de surprise pour venir à portée suffisamment vite et éviter les habituelles phases de tir au laser. Le vaisseau qui leur faisait face était bien trop puissant, ils ne pouvait prendre le risque d’être touché.

Kei s’occupa de donner l’ordre d’attaque et de le transmettre à tous le vaisseau. Yama partit en tête d’un groupe d’artilleurs prendre des places au laser. Le croiseur allait probablement lâcher des chasseurs pour le défendre, et le véritable danger, ce seraient eux.

D’un puissant mouvement de roue, Albator porta les deux vaisseaux bord à bord, et déclencha l’ouverture de la soute. Trente de ses hommes, menés par Kei et Yattaran, sautèrent à bord du croiseur, avec l’ordre, surtout, de rester groupés.
Ils devaient piller en vitesse ce qu’ils pouvaient, causer des dégâts matériels comme humains, et revenir au plus vite sans prendre de risques.

Penché sur son propre radar, près à commander l’Arcadia si le croiseur décidait de riposter, Albator réalisa soudain qu’il recevait un message radio codé selon le cryptage de la coalition. Il hésita un peu, se demandant s’il s’agissait d’une ruse, d’une provocation, ou bien d’une plaisanterie, et décida finalement d’écouter l’enregistrement :

-Appel aux unités dans la zone 584, criait quelqu’un dans le micro. Le croiseur Éole subit une attaque pirate ! Avons besoin de renforts immédiatement !

Comme fouetté, le capitaine se redressa. C’était trop beau pour être vrai !
Il scanna l’horizon, guettant l’allure familière du Queen Natacha, sans le trouver. Se pourrait-il qu’un autre vaisseau ai vu le jour, un autre vaisseau suffisament culotté pour venir affronter un croiseur aussi gros ?
Ou alors, c’était une ruse... Pensif, Albator décrocha l’appel que lui envoyait Kei :

-Capitaine, nous avons été devancés !
-Comment cela ?
-Les couloirs sont pleins de morts, il y a du sang partout... (elle déglutit) Même Yattaran est d’accord pour dire que c’est super glauque !

Fronçant les sourcils, Albator raccrocha, et retira l’Arcadia de son amarre au vaisseau. De deux coups secs, il fit passer son propre navire sous le gigantesque croiseur et remonta de l’autre côté. Une étrange brume rouge lui fit aussitôt tourner la tête. Quel était donc cet étrange vaisseau fantôme ?
À la fois vexé de ne pas avoir été le plus rapide et curieux, le capitaine laissa l’Arcadia statique. Il rabattit sur le bas de son visage son masque à Oxygène, et laissa se créer entre les deux vaisseaux le champ de pression qui allait lui permettre de sortir dans l’espace sans exploser.
Ce qui était tout de même mieux.
Il compte jusqu’à dix, puis ouvrit une trappe sur le vide. Privé de gravité, il poussa de toute ses forces sur l’Arcadia pour se donner l’impulsion nécessaire, et fila vers le croiseur, qu’il atteignit sans mal. D’un violent coup de pied, il brisa le carreau qui s’offrait à lui et se jeta dans la pièce, qu’il balaya d’un regard pour voir où il était tombé.
Aux cris féminins qui résonnèrent, aux luxueux décors, il devina qu’il d’agissait d’un salon de réception, et qu’il tombait en plein dans l’apéro.
Toutes ces cérémonies que les riches organisaient entre eux, juste pour se prouver qu’ils étaient riches... le dégoûtaient.

ll tira un coup en l’air pour obtenir un silence relatif. Il aurait aussi bien pu tirer dans le tas, mais des gens aussi... futiles ne méritaient même pas de mourir sous sa lame.

-Je vous conseille de sortir d’ici, annonça-t-il. Quand l’Arcadia s’éloignera, vous aurez la mauvaise surprise de voir vos têtes éclater.

ce qui n’aurait pas été pour lui déplaire... Il s’engouffra dans une coursive, sans un regard en arrière, pressé.
Il ne vit pas, derrière lui, l’une des invitées, en apparence aussi bien vêtue et coiffée que les autres, soulever légèrement sa robe déjà courte, et décrocher le couteau plaqué contre sa cuisse pour se lancer à sa suite, silencieuse comme une ombre.

[Ouais, la fille en question, c’est Lily-Rose, la soeur d’Ethan]

je me trouver sur le vaisseau qui transporte des personne très fortune , bien sur je ne laisse que des mort sur mon passe jusqu'à la grande salle de réception . est j'arravie enfin a la salle je vie plein de gens qui se tourna vers moi et me voilà en train de faire encore mon magnifique massacre la salle n'est que crie d'horreure et de souffrance je les tue tous sans scrupule et de sang froid , une fois le massacre fait je regarda se que je venez faire et je me mis a souris .

est je parti en direction du coursive pour tuer le reste de l'équipage se qui veux dire se qui se trouve dans leur chambre , la je tombe sur une personne qui se trouve de dos et je tira juste a coter d'elle et la voilà qui se retourne et elle me fait face
" non ses imposible se visage , je me souviens maintenant c'est cette fille qui ma défigurais a tout jamais " . je porte ma main a mon visage et voilà que mon regard deviens sanguinaire , je la voie me regarde bizarrement normal je suis couverte de sang de se que j'ai tuer

-je me souviens de vous pour se que vous m'avais fait

je marche vers elle mon arme a la main je suis prète a la massacre , je la voie elle ne bouge pas d'un pouce et me voilà en train de foncer vers elle . est me voilà en train de me battre avec cette fille qui réalise qui je suis , et je la blesse lègerement a la jambe se qui la fait tombe a terre

-tu va le payer pour se que tu m'avais

j'allais la massacre quand j'entendis des soldat arriva vers moi dans le couloir qui se trouver a ma gauche , alors je parti dans se couloir pour faire mon massacre . est voilà que je me trouve face a une vingtaine de soldat bien arme , mais casse la tienne je leur fonce dessus et je les massacre sauvagement et il ne reste plus qu'un soldat de bout face a moi qui lui braque son arme sur moi mais il nu pas le temps de dire ouf que je viens de lui arracher le coeur que je tien dans ma main . quand a moi je ne fait même pas attention a la personne qui viens de mon cote , et voilà que j'entend un bruit de métal comme celui d'un sabre je tien encore se coeur dans ma main

Lily-Rose comprit très vite que le capitaine avançait vite, et n’avait pas l’intention de l’attendre. Elle avait beau courir comme elle pouvait derrière, elle perdait largement du terrain.
De plus, elle était vêtue, habillée, et maquillée comme pour une soirée, et pas du tout pour un combat avec le capitaine de l’Arcadia. L’occasion était cependant trop belle. Elle ne pouvait pas le laisser filer.
En jurant, elle ôta ses talons qui lui tuaient les pieds et faisaient un boucan d’enfer en claquant sur les passerelles en métal. Bien contente d’avoir pensé à mémoriser le plan du vaisseau avant d’embarquer, elle escalada à toute vitesse une structure en métal qui dépassait, joua les équilibristes sur vingt mètres, avant de retomber souplement sur une passerelle qui filait au dessus des cabines des mousses.
une forte odeur de sang la prit à la gorge, et le sol sous ses pieds devint légèrement collant.
Aaah, enfin une ambiance sympa dans ce vaisseau ennuyeux à en mourir !
Elle repéra bien vite le capitaine, qui avançait toujours de ce même pas pressé, comme s’il cherchait quelque chose ou quelqu’un un. Ce boulet avait perdu son équipage, ou quoi ?
La jeune femme n’attendit pas qu’il se retourne et la remarque. En quelques secondes, elle se plaqua au mur, et bondit vers lui.
Au même instant, un étrange sixième sens lui intima de se retourner en vitesse, et elle eut le réflexe de se baisser, ce qui lui sauva probablement la vie, vu que la lame qui siffla près de ses cheveux était visiblement destinée à sa gorge.

Elle bondit en arrière, posant son regard sur celle qui l’avait attaquée. Il s’agissait visiblement d’une pirate, vu sa tenue. Lily-Rose grimaça en la regardant de travers. Même elle, qui avait pourtant dû égorger une bonne centaine de personnes dans le sang et la douleur, ne s’en était autant mis partout.
Elle retint le commentaire cynique sur la quantité de lessive que ladite fille devait utiliser quotidiennement, préférant éclater d’un rire macabre devant son commentaire.

-Oh, mais des gens, j’en ai défiguré des tas, tu sais ! Je ne sais même pas qui tu es, et ça m’est bien égal !

En réalité, Lily-Rose s’est légèrement baissée, et à décalé ses appuis pour se mettre de côté. Rien qu’à voir la position de la pirate, elle devine que cette dernière va lui foncer dessus, et elle est déjà en train d’étudier le combat à venir.
Quand la pirate bondit, la jeune femme est prête. Elle a lâché son couteau, qui lui sera inutile de toute façon. Quand Lyly arrive à sa portée, elle fait un demi pas de côté, passe ses bras autour de sa poitrine comme pour lui faire un câlin, et entremêle ses jambes avec les siennes, cherchant à lui faire perdre l’équilibre. Quand elle la sens basculer, Lily-Rose se penche instinctivement en arrière. Sa main vient trouver l’écharpe de la pirate, et elle l’enroule autour de son poignet, espérant tirer dessus et l’étrangler, en vain. Une douleur cuisante se répand dans sa cuisse, et la jeune femme réalise qu’elle s’est mangé un sérieux coup de couteau.
Gênée, elle perds un appui, trébuche, et tombe. Lily-Rose est plus furieuse que blessée. Elle a déjà flanqué des raclées monumentales à des hommes bien plus grands et lourds qu’elle, et voilà qu’elle se retrouve au tapis en même pas deux minutes par une simple...
Elle passe la main sur sa jambe ouverte, constatant les dégâts. La plaie n’est pas profonde, et aucune artère n’est touchée. Ce n’est presque rien.
La jeune femme a le temps de maudire encore cinq fois sa robe de soirée qui la gène plus qu’autre chose avant qu’un vacarme assourdissant ne lui fasse tourner la tête.
Ah, apparemment, leurs gardes se sont décidés à intervenir.

La pirate se lance contre eux, et sous ses yeux légèrement étonnés, les massacre littéralement en une minute à peine.
Lily-Rose réfléchissait déjà. La pirate n’aurait pas du la laisser ainsi, sous le simple prétexte qu’elle était blessée.

-Règle n°1, grogna-t-elle en allongeant la main vers son couteau. On achève toujours ses victimes... Ou alors on s’assure qu’elles souffrent assez pour mettre fin à leurs jours seules.

Elle prit appui sur sa jambe valide, et se redressa d’un simple mouvement, souriant en voyant la pirate vêtue de rouge arracher la coeur du soldat qu’elle venait de tuer. Enfin une qui avait un peu de goût !
Lily-Rose n’attendit pas que l’attention de son adversaire revienne sur elle. Elle avisa une trappe quelques mètres sur sa gauche et l’ouvrit.
Avant de sauter dedans pour se mettre à l’abris, elle saisit son couteau par la lame, ajusta en vitesse un tir, et le lança sur la pirate.

-Au plaisir de te revoir, ma chérie ! lança-t-elle.

Son ton avait quelque chose de terriblement moqueur, malgré le sang qui s’écoulait en filet continu de sa jambe blessée.

-J’aime beaucoup ces petites réunions où je peux constater par moi-même combien j’ai fait de mal, et combien mes victimes ont souffert. Tant physiquement... Que moralement, conclut-elle.

Elle se laissa tomber comme une pierre dans le conduit vide.

[Ben ouais, du coup, il a bien fallu que je lui créee un compte... Enfin bref, je pourrais la faire intervenir ponctuellement dans des sujets, mais elle n'est pas un perso. Je ne prendrais pas de rp complets avec elle.]

Albator revint sur ses pas immédiatement, attiré par le vacarme de la bataille. Était-ce son propre équipage qui combattait ici, ou bien le mystérieux pirate qu’il cherchait ?
Une très fort odeur de sang la prit à la gorge en débouchant au croisement des coursives, et lui fit brièvement froncer le nez.
Peu importe où se posait son regard : le gris de l’acier était recouvert de l’écarlate du sang. Ce n’était pas un combat qu’il y avait eu ici.
C’était un massacre.
Il fit un pas, puis deux, au milieu des corps. Des membres arrachés, des têtes coupées, des viscères gisaient sur le sol dans la mer vermeille qui coulait à ses pieds. Il comprenait mieux, à présente, la réaction de Kei, à la radio.

L’unique oeil du capitaine trouva très vite la silhouette féminine, dernière debout sur un carnage. Le rouge du cuir de son uniforme était taché, et il crut d’abord faire face à une survivante.
Mais quand elle se retourna, ce que le capitaine vit l’horrifia. Son regard aux éclats de folie semblait se repaître du bonheur que lui offrait la scène. Elle tenait dans la main...
Une intense rage naquit soudain dans la poitrine du capitaine.

Comment cette femme pouvait-elle se prétendre pirate ? Ce spectacle aurait dû être l’oeuvre de la coalition qu’il haïssait, pas d’une pirate qui disait partager ses valeurs. Comment pouvait-elle sourire ainsi de son carnage, serrant entre ses doigts le coeur encore palpitant d’un homme probablement innocent, dont le visage figé en un hurlement d’horreur tendait une vaine main morte vers elle, comme pour la supplier ?

Albator sortit en un instant son arme de sa ceinture, et tira un bref coup. La balle siffla le long de la paume de la main de sa cible, et arracha la coeur qu’elle tenait entre ses doigt cruels, laissant sur sa peau blanche le sang de la victime et la fine éraflure laissée par la balle.
Profondément en colère, Albator bondit en avant et tenta de lui porter un coup d’épée, qui tinta en rencontrant la parade que l’autre avait eu le temps de de dresser.

Était-il réellement utile de se battre contre quelqu’un qui, de toute évidence, était dans son camp ? Le capitaine ne chercha pas de réponse. La vue du sang le rendait fou, lui qui avait tant à expier en meurtres et en morts.

Il désengagea, et, pour la prendre de cours, choisit d’abandonner l’usage de sa lame, et lui saisit le poignet. Resserant sa prise à lui en faire craquer les os, il lui vrilla le bras, et ignorant ses coups, la saisit à la gorge et la plaqua au mur.

-Qui es-tu ? cria-t-il presque. Pourquoi les avoir tous tués ?

Et surtout, pensa-t-il pour lui même, pourquoi les avoir tous tués ainsi ?

je me retourna et me voilà fac a face avec cette personne qui me tire dessus , bien sur le coup me fit lâche le coeur que j'avais dans la main et je regarda la éraflure que m'avais la bal se qui me fit souris . est le voilà qui fonce sur moi et nous voilà en train de nous battre je pouvez voir de la colère dans sont seul oeil , et il fini par ranger son arme a sa ceinture . est je fut saisit par mon poignet se qui me fit sur le coup grimasse et pour finir il me tordis le bras et pour finir par la gorge et je fut plaquer contre le mur , il me demanda qui j'étais

-tu me demande qui je suis , et bien je vais te le dire je suis le phantom sanglant ou si tu préfère la vampire

je ne lui avais pas dis mon vrais nom , je continuai a lui souris mais d'un souris sanglant comme mon surnom que je m'était forger par mes acte . bien sur je m'état du temps a répondre du pourquoi je les avais tous tuer si sauvagement , je continuai a être plaquer contre se mur . je le vie regarde mon demi masque que je porte sur ma joue et je voie sa main s'approche

-je vous le déconseille si vous ne voulais pas finir comme ses chien

mon parler était aussi sanglant que mon souris , je réussi a me dégager mais en me dégagant il m'arracha mon masque je porta très vite mes main a mon visage mais il avais hue surement le temps de voir mon visage brûler

-je vais vous répondre pourquoi je les tous tuer ainsi si sauvagement , car pour moi se ne sont que des chien qui ne mérite que la mort la plus horrible qu'il sois

je regarde mon masque qu'il tien dans sa main , quand a moi je sans une pousse de haine envers cette homme que je lui braque mon arme mon regard voulais surement tout dire . mais je fini par ranger mon arme a ma ceinture , et je fit arrive stéllie qui elle braqua son arme sur cette homme qui se fige a la vue de ma seconde . je fit comprend a stéllie de ranger son arme

-capitaine pouvez vous me rendre mon masque je vous pris

je ne voulais que stéllie me voie commença alors aller t'ils me rendre mon masque ou pas , et je le voie la regarde de la tête aux pied même stéllie le regarde

-dis moi stéllie tu a l'air de bien le connaitre vue ton regard

-stéllie : désole je ne le connais pas

je savais qu'elle m'avais menti , et je vie se capitaine me tendre enfin mon masque que je remis très vite sur mon visage

-aux faite a qui ai je l'honneur

Le Fantôme Sanglant ? La vampire ? Quel pirate pouvait donc choisir des noms aussi violents ?
Le capitaine serra les dents. Toutes les idées qu'il défendait depuis toujours, tout ce pour quoi il se battait, était les idéologies et la culture des pirates, qui même s'il n'étaient pas fédérés ou rassemblés, formaient bien une communauté soudée par des même désirs.
Et d'un seul coup, cette fille lui tombait dessus, et en vingt secondes envoyait en l'air tout ce pour quoi il combattait. Un pirate devait défendre la liberté, l'espoir.
Pas le sang.

Ignorant les insultes, il avança sa main libre vers le demi-masque qui couvrait le visage de la « pirate ». Il la sentit aussitôt se tortiller pour échapper à son étreinte, et vit bien vite qu'elle lui glissait entre les doigts. Dans un réflexe rapide, il referma ses doigts sur le bout de cuir, qui lui resta entre les mains. Avec un grognement de rage, la jeune femme couvrit son visage de ses main, recouvrant une plaie qui lui fit aussitôt penser à celle de Thos, son soldat que Lyu avait délivré après qu'il ait été torturé par Gaia. Thos avait une bonne partie du visage brûlé, et un œil fondu, que Lyu malgré tout ses efforts n'avait pas réussi à guérir.

Albator avait retrouvé son calme, ou du moins un visage impassible. En entendant la pirate évoquer les raisons de ses actes, il lâcha un léger rire, déçu.

-C'est donc ça, c'est donc tout ? Si tu n'as pas d'autre souhait que de répandre la mort, alors tu ne vaux pas mieux que ces Hommes que tu hais tant. Pour te réclamer pirates, tu dois pouvoir répondre d'actes véritables. Tuer n'en est pas un. La mort est pour moi, pour nous, une triste obligation, et non un plaisir.

Il regarda, dubitatif, la jeune femme braquer une arme sur lui, puis renoncer et la ranger, une seconde jeune femme qu'il identifia comme sa seconde le menacer à son tour, avant elle aussi de baisser ses défenses. Albator patienta, se demandant s'il allait falloir qu'il livre bataille et les tue, ou bien si elles allaient se raisonner à temps.
La seconde option fut la bonne, et le capitaine jeta aux pieds de la jeune femme vêtue de rouge son masque, comme il aurait jeté un os à un chien.

La jeune seconde le détaillant avec une étrange avidité, il daigna à son tour poser son unique œil sur elle. Immédiatement, la capitaine fut frappé par sa ressemblance avec une personne qu'il connaissait ou avait connu, sans parvenir à mettre un nom sur son visage.
La proche d'un membre de son équipage, peut être ? Un lien de parenté avec maya ? Il chassa très vite cette deuxième possibilité. La seconde de la fausse pirate était bien loin d'avoir la beauté et la fraicheur de son ange blond.

L'oeil noisette d'Albator fusilla la vampire lorsqu'elle reprit la parole.

-Vous rencontrer, asséna-t-il gravement, n'est pas un honneur.
-Capitaine ! Lança Kei en arrivant au même moment derrière lui. Que fait-on ?

Albator se retourna aussitôt vers sa seconde.

-Ce qui est juste. Reprenez au vaisseau les impôts volées à des planètes déjà pauvres. Abattez les généraux de guerre qui ont eux-même étranglé des innocents. Et si l'occasion se présente, vous pouvez tenter de prendre un otage. Je ne veux ni risque inutile, ni effusion de sang superflue.
-Bien capitaine !

Reportant son attention sur la pirate, Albator ajouta :

-Si vous êtes réellement la pirate dont vous vantez le titre, viendrez-vous avec moi achecver dans la justice cet abordage ?

je le laisse parler , car il me dis que je ne valler pas mieux que ses hommes que j'avais massacre . se qu'il disais avais du juste mais je passa outre cette vérité , je fit un signe a stéllie de retourne sur le vaisseau et la voilà parti . je voie une jeune femme venir a coter de cette homme puis repartir , la chose qu'il ne ses pas ses que membre d'équipage ont déjà tout pris .

-je suis désoler de vous décevoir pour cette abordage mes membre d'équipage ont déjà tout pris sans faire de quartier , et de plus je ne suis pas un pirate mais un corsaire et je n'est pas de lois

je le voie se retourne et me regarde pour se que j'avais dis , je n'avais pas de lois car je faisait ma propre lois a moi qui veux dire massacre voler et aucun prisonnier . je continu a le regarde avec mon regard sanglant car tout reflété sur moi se que je suis devenu , je porte mon regard sur les cadavres que j'ai fait et qui se trouve par terre

-se que vous m'avais dis capitaine et la vérité , mais voilà cette vérité ne me touche pas .

j'ai mes poing qui se serre car je repense a ma soeur jumelle qui et morte tuer par cet maudit coalition , et je revoir cette femme qui me regarde bizarrement et la voilà qui dis a sont capitaine que je ressemble a quelqu'un qui faisait parti de la l'arme de l’espoir . je voie le regard de se capitaine me regarde une fois de plus de la tête aux pied

-si vous voulais que je vous dise mon véritable nom et bien laisse moi vous dire que je n'est plus de nom

est voilà que ma radio que je porte a mon poignet s'active , c'était mon second qui me disais qu'un vaisseau arrive très vite sur nous . bien sur je lui avais demande de passe en mode camouflage et de partir asse loin de se vaisseau , et se fut le choc et voilà que d'autre soldat arrive . je regarde ce capitaine et la femme qui se trouve ses coter .

-je vous conseille sale chien de coalition de faire demi tour si vous ne voulais pas finir massacre comme les autre

je les voie regarde les cadavres puis il recule comme si ses cadavre leur faisait peur ou plutôt mon visage qui leur fait peur , mais je ne vie rien car ses pauvre fout prenne la fuite .

Une corsaire ? Quelle ironie !
Lui qui était déjà si souvent nommé comme tel, et bien à tors, peinait à faire reconnaître aux gens la différence. Mille ans que personne n’avait ouvert un livre d’histoire...
Créés sous la monarchie Françaises, les corsaires étaient en réalité des membres d’un état, autorisés de la main du roi à mener des activités pirates contre des pavillons ennemis, avec pour objectif de s’en prendre principalement à la cargaison marchande, et non uniquement à l’armement.
Les corsaires agissaient donc en tout légalité, uniquement en tant de Guerre, sur permission du gouvernement, contrairement aux pirates, qui eux étaient bien hors là loi.

Jugeant l’instant particulièrement inopportun pour un cours d’étymologie, le capitaine se contenta de rabattre sa cape sur sa tenue de cuir dans un claquement sec.

-Qui êtes-vous donc pour vous placer au-dessus des vérités ?

Albator soupire, sachant toute discussion inutile. Il devinait derrière cette fille, derrière son regard ardent et ses poings crispés, une douleur immense. Elle avait sans doute de douloureux secrets enfouis derrière son masque. Et puis, elle était encore jeune... En penchant la tête, le capitaine se souvint que lui-même avait mis de nombreuses années à faire la part des choses, à mettre de côté sa colère dans la mort de Toshirô, et celle, supposée, de Maya.
Lui s’était enterré dans la matière noire, derrière le bouclier de son immortalité et de sa distance vis-à-vis des autres.
Une femme si jeune, qui déjà abandonnait son nom derrière un visage brûlé et un passé sans doute jonché d’épine, Albator n’en avait jamais croisé. Il se sentit soudain un peu coupable d’avoir traité si rudement la jeune pirate, qui n’était finalement qu’une version de lui plus jeune, qu’il avait tant tenté d’enterrer.

Le simple éclat ardent des yeux fous du Fantôme suffit à faire fuir en un instant les quelques fous assez idiots pour s’aventurer près d’eux.

-Dans ce cas, asséna Albator, nous n’avons plus rien à nous dire. Nos chemins se recroiseront peut-être...

Il s’inclina légèrement, dans un salut légèrement teinté d’ironie, et fit deux pas vers Kei, avant de se retourner une dernière fois.
Ce fut Kei qui ajouta :

-La coalition ne vous recherchera pour rien d’autre que pour piraterie tant que vous tuez ces simples soldats. Mais quand nous sommes arrivés, vous vous battiez avec une jeune aristocrate, et vous ne l’avez pas tuée. Ces gens-là sont terriblement rancuniers.

Elle haussa les épaules.

-Vous avez scellé votre sort. j’espère que vous courez vite...

Albator écoutait attentivement sa seconde, fier d’elle et de ses paroles pleines de sagesse.

-Ou que votre lame est affutée.

Sur ces derniers mots, les deux tournèrent les talons.

je le regarde sans rien dire de plus , il m'avais demande qui j'étais pour me placer haut dessus des vérites . je l'entendis soupirais et il pencha sa tête sur le coter , je me demande a quoi il pouvez pense en me regardant ainsi . comment je n'avais plus rien a dire il me salua et je lui rendis sont salut sabre devant moi , et je le vie me regarde une dernière fois . est voilà que la seconde de se capitaine me dis que la coalition aller me rechercher sa je le savais déjà , mais pour l'aristocrate cela me regarde de pourquoi je ne les pas tuer . est la voilà qui me dis si je c'est courais vite ,

-ne vous inquiète pas pour ma lame si elle affûtée car je peut vous dire oui

est les voilà qu'il part pour retourne dans leur vaisseau , quand a moi je repris le chemin de mon vaisseau que je fit apparaître a coter de leur vaisseau et je salut une dernière fois se capitaine sans dire un mot et je refit disparaître mon vaisseau dans cette brume rougeâtre . je suis sur qu'il se pose des question de mon vrais nom et sur tout qui je suis réellement , et je téléporta mon vaisseau dans un autre secteur de la galaxie